Fin février et fin mars, les étudiant·e·s de 2e année en Bioqualité se sont rendu·e·s à Seneffe pour visiter le centre de compétences Aptaskil. Une visite interactive où connaissances et compétences acquises en gestion de la qualité et des produits chimiques, rencontrent les réalités du terrain.
Aptaskil est un centre de compétence pour les métiers de la production (fabrication, laboratoire de contrôle qualité, maintenance…) dans les industries chimiques, pharmaceutiques et biotechnologiques. Les formateurs·rices y sont des véritables professionnel·le·s du secteur avec une expérience industrielle de terrain. Aptaskil, avec ses équipements de pointe et ses expert·e·s devenu·e·s formateurs·rices, est ainsi l’acteur adéquat pour aider nos jeunes à parfaire leurs compétences pour le futur.
Durant ces visites à Aptaskil, nos futur·e·s professionnel·le·s ont approfondi leurs connaissances sur la législation en matière de gestion des produits chimiques et de gestion de la qualité en laboratoire. Ils·elles ont notamment appris à classer et à stocker les produits chimiques selon leur degré de dangerosité. Une réelle clé pour leur formation : « J’ai pu en apprendre plus sur la gestion des produits chimiques, en partie la gestion des déchets, sur la gestion des risques et sur d’autres thèmes. Cette formation faisait un lien avec un de mes cours de Bloc 1 : ‘Technologies au service de la qualité et de la sécurité des produits’ « , explique Jean-Charles, étudiant participant à la journée.
L’alternance : des liens intéressants entre la théorie et la pratique
Ce type de visite offre à nos étudiant·e·s de réels bénéfices dans leur pratique de stage : « Nous avons travaillé avec des cas inédits et concrets. Ce qui est chouette c’est qu’en partageant nos exercices, on aborde la résolution de problèmes sous différents angles. Le programme cible pile ce qu’il nous faut et apporte de nouveaux éléments utiles à notre immersion en entreprise. », partage Elonie.
Des allers-retours pertinents entre l’école et le stage : « C’est l’avantage de l’alternance. Je remets sans cesse en question mes pratiques lors de mon stage. Mon maitre de stage apprécie ce côté actif et participatif. », conclut Jean-Charles.
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