Il en va de même dans notre cursus.
Entamé (de préférence) dès la troisième année, il va connaître un parcours de type « marathonien » où il faut maîtriser tant la distance que le temps.
Dès le début, le mémoire est doublement encadré : d’une part par le(s) promoteur (et copromoteur) qui vont le suivre depuis sa conception jusqu’à sa défense devant jury. D’autre part, l’Institut a voulu aider les étudiants en constituant une « Commission des Mémoires » qui valide les différents aspects techniques (choix du sujet, plan expérimental, …) et apporte les compétences spécifiques notamment à la rédaction scientifique.
De plus, toujours dans l’objectif d’aider les étudiants, l’Institut met à leur disposition un « Laboratoire de Calcul » où non seulement ils ont accès aux logiciels de statistique adéquats mais encore (surtout !) ils sont aidés par des enseignants spécialisés.
Si le choix du sujet est laissé à la liberté des étudiants, le type d’étude est circonscrit dans trois domaines : expérimental, bibliographique, clinique. Si ce dernier est bien connu (cas clinique), les deux autres approches nous sont spécifiques.
Le mémoire bibliographique (dont deux spécialistes font partie de la commission des mémoires) portera sur la compilation bibliographique en langues anglaise et française portant sur un sujet.
Le mémoire expérimental se passe généralement dans un laboratoire, soit chez nous, soit dans une université belge ou étrangère et porte sur des sujets pointus, l’objectif d’un tel mémoire est la publication dans une revue scientifique.
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