Dans le cadre de la Journée internationale des Femmes et des Filles de Sciences, la HELHa est partie à la rencontre de plusieurs femmes ingénieures. Rencontre avec Charlotte, Maelig et Virginie.
>>> Diplômées (ou bientôt !) de la HELHa, elles ont un autre point commun : la passion pour les sciences.
Charlotte Allard
Actuellement en deuxième année du Master Electronique à l’École d’Ingénieurs de la HELHa.
Charlotte participe, parallèlement, au programme I² visant la double diplomation « Ingénieur Industriel et Ingénieur de Gestion ».
« Lors de ma deuxième année de Master, j’ai eu l’opportunité d’effectuer mon stage au CeREF Technique (Centre de Recherche et de Formation de la HELHa), au sein du Département Électricité/Électronique.
À terme, j’aimerais vraiment travailler sur le développement de produits combinant le domaine médical et l’électronique. C’est ma perspective, ma vision d’avenir. En dehors de mon projet professionnel ? J’aime pratiquer l’écriture et la cuisine. »
Maelig Pourbaix
Technicienne de laboratoire en contrôle qualité au sein de la société Inovyn.
« Dès l’âge de quatorze ans, j’ai décidé de me diriger, sans aucune hésitation, vers les sciences. Je me suis toujours sentie curieuse, j’ai toujours eu envie de comprendre les phénomènes qui m’entourent. Le plus dur a été de choisir vers quelle science me tourner, mais j’ai fini par choisir la chimie.
Après un stage au sein d’une cimenterie montoise, j’ai décidé de continuer mes études en réalisant un Master en alternance en génie analytique. Cela m’a permis d’approfondir mes connaissances et de les mettre en pratique au sein de l’entreprise AGC Glass Europe et de la société Total.
Le lendemain de ma diplomation, en juin 2020, j’ai commencé à travailler pour Inovyn, une compagnie chimique. Mes missions sont très variées ! Cela va des prélèvements d’échantillons aux analyses de ceux-ci, en passant par la mise au point de nouvelles méthodes de dosage de différentes analyses. Ce qui me plaît dans le métier que je fais est l’assurance de ne jamais m’ennuyer, au vu de tous les domaines qui s’offrent à moi. Mon métier me permet de toujours continuer à apprendre. »
Virginie de Stexhe
Ingénieure industrielle en électromécanique.
« J’ai été diplômée en 2006 et j’ai commencé ma carrière chez Schneider Electric, dans le département des transformateurs moyenne et haute tension.
En 2008, j’ai eu l’opportunité de rejoindre la société I-care à Mons. J’étais la huitième employée de cette grande famille qui compte aujourd’hui près de 500 collaborateurs dans le monde. Avec grande satisfaction, j’y évolue encore à présent. Depuis 13 ans, j’ai pu explorer les multiples facettes du métier d’ingénieur de fiabilité. A ce jour, j’occupe le poste de gestionnaire de projet tout-terrain associé à un rôle transversal de Chief Data Officer.
J’ai pour objectif de renforcer au quotidien les valeurs de mon entreprise : la performance, la durabilité et le respect pour l’humain. »