Qui dit « ingénieur industriel », dit technologie, connaissances, compétences scientifiques, innovation, production, etc. Mais pas seulement ! Le métier d’ingénieur·e est en effet victime de certains clichés. Il·elle est un·e professionnel·le doté·e de différentes compétences, mais qui, parallèlement, occupe une place citoyenne dans la société. 

Le rôle premier d’un·e ingénieur·e est d’inventer, produire et innover. Il·elle nous est indispensable et se retrouve partout : l’agroalimentaire, les cosmétiques, les matériaux, le pharmaceutique, l’énergie, le transport, etc. À côté de ce rôle « professionnel », il·elle endosse aussi le rôle de « citoyen ». Au quotidien, il s’agit de construire des technologies qui s’inscrivent dans un monde avec des valeurs, des règles, des normes, des droits à respecter, etc. Il·elle n’agit donc jamais en totale autonomie ou liberté et se retrouve constamment confronté·e à des dilemmes éthiques.  

Produire avec un esprit citoyen et responsable 

Dans le cadre du cours d’« Éthique et citoyenneté de l’Ingénieur », les étudiant·e·s en 3^e année ont l’occasion de réfléchir aux impacts sociétaux des technologies qu’ils·elles construisent, via des exercices d’« Apprentissage par Problème » où ils·elles explorent les divers aspects d’une problématique actuelle ou plus intemporelle. Après s’être documenté·e·s, ils·elles rédigent alors un rigoureux rapport scientifique.  

Étude de sujets actuels 

Pour entrer dans le concret, les étudiant·e·s ont notamment travaillé sur le thème des voitures électriques. Ce moyen de transport a beau être attrayant, à la mode et comporter de nombreux avantages, cela ne l’empêche pas de cacher des contraintes techniques, économiques et écologiques sur lesquelles les étudiant·e·s se sont penché·e·s.  

 « Ce cours nous a apporté une vision objective sur la science et son histoire. Nous avons pu saisir l’importance de la rigueur et de la démarche scientifique que nous mettions en place dans nos laboratoires depuis le début de notre cursus. En tant que futur·e·s ingénieur·e·s, il est important que nous comprenions l’importance des questions éthiques et leurs impacts sur la société, mais que nous prenions aussi en compte le développement durable. », partage l’un d’eux.  

Pour ce qui est des voitures électriques, nos futur·e·s ingénieur·e·s ont conclu, avec leur œil de citoyen responsable, que cette technologie attrayante n’est pas toute rose et que de nombreuses alternatives existent. En termes d’éthique, de nombreux autres thèmes dignes d’intérêt ont été abordés. Les étudiant·e·s ont également analysé l’introduction des nanoparticules (potentiellement nocives) dans les produits solaires, l’adoption du cloud pour le stockage des documents d’une entreprise, le développement d’une branche low-tech (développement durable) dans une entreprise spécialisée dans la domotique et le HVAC, etc.  

Une conscience sociétale et un esprit critique 

Les bénéfices du cours sont clairement visibles :

« Ce cours nous a permis de discuter, de débattre, de faire des recherches et de comprendre le point de vue de chacun et les différents sujets abordés. Le cours d’éthique et citoyenneté est nécessaire dans le cursus d’un·e ingénieur·e. Je pense que les étudiant·e·s de tous les domaines devraient recevoir de tels cours, pour se poser les bonnes questions quant à leur futur métier. », conclut l’étudiant.

Grâce à l’étude de ces différents cas pratiques, les étudiant·e·s ont pu prendre conscience des enjeux sociétaux et développer leur esprit critique. Ils·elles deviennent ainsi au fur et à mesure des ingénieur·e·s responsables. 

Découvrir la formation d’Ingénieur industriel 

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Ainsi, après 3 jours en Norvège, le Directeur-Président de la HELHa, Philippe DECLERCQ, et la coordinatrice du Service International, Pauline CORNIL, sont revenus des idées plein la tête, que ce soit pour renforcer le programme d’échanges ERASMUS+ de la HELHa ou notre positionnement en termes d’entrepreneuriat. Les diverses rencontres ont eu lieu dans le cadre de la mission économique menée par la Princesse Astrid, avec une délégation de 400 belges du secteur privé et du monde académique.

Jour 1 : Focus sur l’innovation et entrepreneuriat 

Et si l’entrepreneuriat était intégré dans toutes les disciplines d’enseignement ?

Et si l’ensemble des étudiant-e-s étaient formé-e-s à l’innovation ?

Lors d’un séminaire sur le rôle de l’enseignement supérieur dans les écosystèmes d’innovation, notre Directeur-Président a été inspiré par le fait d’ouvrir le champ des possibles à l’ensemble des étudiant-e-s, de les pousser à franchir les barrières qu’ils-elles se mettent peut-être spontanément en termes de possibilités de carrière une fois diplômé-e, de transmettre tous les outils possibles pour développer LA bonne idée, etc.

«  Ce qui m’a inspiré, c’est l’évolution du concept de l’entrepreneuriat : il y 30 ans, on se demandait comment une bonne idée pouvait devenir un bon produit ou un bon service.Aujourd’hui, il s’agit plutôt de définir l’impact sociétal. Je rejoins totalement ce prisme. Je suis convaincu que nous devons le transmettre à nos étudiant-e-s », précise Philippe DECLERCQ.

Jour 2 : Développement des collaborations Erasmus+

Notre Haute École ne cesse d’étendre ses possibilités d’échanges au cœur du programme ERASMUS+. Cette fois, en Norvège, une rencontre avec Mr JAGLE, chargé des relations internationales du comté de Akershus, a permis de discuter des possibilités de collaboration dans le cadre de l’envoi d’étudiants en tant qu’assistants linguistiques francophones dans les écoles secondaires.

Jour 3 : Dialogue avec Universities Norway 

Lors du troisième jour de cette mission économique, Notre Directeur-Président a participé à la conférence des recteurs d’Universités regroupant 10 universités et 23 University Colleges norvégiens. Les discussions ont porté sur les différences et points communs de l’enseignement supérieur dans les divers pays représentés, mais également sur les collaborations potentielles en matière de recherche, d’écoles doctorales et d’Erasmus. Fraises norvégiennes et chocolats belges en en-cas ;o)

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Depuis septembre 2024, les étudiant·e·s en BLOC 2 ont l’opportunité de découvrir le métier de « conducteur de chantier ». Toute l’année a, en effet, été rythmée par des visites de différents chantiers : domaine d’Epinlieu (réaménagement), anciennes cimentries Delwart (rénovation de bâtiments), nouveau pont de Tubize (construction), etc. Après avoir endossé le rôle d’observateur·rice pendant un petit temps, ils·elles étaient prêt·e·s pour entrer encore davantage dans la pratique.  

60 étudiant·e·s de BLOC 2 ont formé des groupes de 5 personnes pour étudier un cas pratique connu de la société Jacques Delens. L’entreprise est spécialisée depuis plus de 50 ans dans la construction, la rénovation et la restauration de différents types de bâtiments : immeubles de bureaux, logements, complexes industriels, centres sportifs, hôpitaux, hôtels, résidences, écoles, auditoires, cinémas, etc. 

Un problème, une solution 

Après une présentation du chantier à réaliser, les 5 concurrents ont entamé l’étude de son installation. Sur base de plans et documents techniques fournis par l’entreprise, ils·elles ont effectué différentes tâches : dimensionnement de la grue tour, de la base de vie, des zones de stockage, etc. Pour réaliser ce travail, les participant·e·s pouvaient compter sur les quatre conducteurs de chantier expérimentés venus pour l’occasion.  

Une fois l’étude réalisée, nos étudiant·e·s étaient fier·e·s de proposer oralement leurs solutions face au jury fictif composé des experts présents. « Essayer de trouver une solution à cet exercice était très stimulant et nous pouvions pleinement mettre à profit la théorie vue en cours. », partage Pierre, étudiant en BLOC 2. S’en est suivi un débriefing très instructif puisque les professionnels ont exposé l’installation adéquate, réellement utilisée par Jacques Delens, en justifiant leurs choix au travers d’une séance de questions-réponses.  

Un pas de plus vers le métier de « conducteur de chantier » 

Les participant·e·s ont particulièrement apprécié la mise en pratique de leurs connaissances théoriques ainsi que le fait d’avoir endossé le rôle de professionnel : « L’équipe de Jacques Delens nous a plongé·e·s dans leur quotidien. Nous étions loin de nous imaginer tous les détails à prendre en compte et c’est bien là que l’activité prenait tout son sens. Merci à l’équipe de nous avoir fait découvrir un peu plus le métier de conducteur de chantier ! », conclut Pierre.

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Une inscription 100% en ligne

Les candidate·s belges et européen·ne·s peuvent s’inscrire via la plateforme en ligne de la HELHa. Bien que l’inscription soit techniquement possible sur un smartphone, il est fortement recommandé d’utiliser un ordinateur pour une expérience plus fluide et plus efficace.

Étapes de l’inscription

Le processus d’inscription en ligne se déroule en plusieurs étapes :

1. Créer un compte un compte la plateforme d’inscription.
2. Compléter toutes les sections demandées. Il est possible de sauvegarder sa progression et de revenir plus tard pour finaliser son dossier.
3. Fournir les documents requis selon sa situation.
4. Effectuer le paiement des frais d’inscription de 50 € (non remboursables).

Les inscriptions se terminent le 30 septembre 2024 mais il est vivement conseillé de finaliser l’inscription avant le début des cours (mi-septembre) afin de démarrer l’année dans de bonnes conditions.

Documents à fournir

Les documents requis pour l’inscription varient selon le parcours académique antérieur des étudiant·e·s. Pour les actuel·le·s “rhétos” qui passent leur CESS (Certificat d’Enseignement Secondaire Supérieur) en Belgique en 2024, ils·elles peuvent déjà commencer à s’inscrire en se munissant de leurs documents d’identité. Une fois le diplôme en poche, ils·elles pourront se reconnecter et l’ajouter dans leur dossier en ligne.
Pour les actuel·le·s élèves européen·ne·s qui passent leur “BAC” ou tout autre diplôme équivalent au CESS, il sera également nécessaire de faire une demande d’équivalence avant le 15 juillet 2024. Il s’agit d’une procédure visant à assimiler des études effectuées à l’étranger à celles organisées dans l’enseignement supérieur au sein de la Fédération Wallonie-Bruxelles.
Pour les personnes ayant obtenu leur CESS (ou son équivalence) avant 2024, elles seront amenées à justifier leur parcours antérieur.
>>> Toutes les informations ici.

A noter : Les étudiant·e·s français·e·s souhaitant s’inscrire dans le Bachelier de Sage-Femme (4 ans) ou dans le Master en Kinésithérapie (4 ans) doivent suivre des procédures d’admission particulières.

Frais d’études

Pour valider son inscription, un acompte de 50 € est demandé en fin de processus d’admission. Ce montant n’est pas remboursable.
Les étudiant·e·s doivent également s’acquitter de frais d’études (minerval) relatifs aux infrastructures et équipements, et des frais spécifiques à leur formation pour l’année académique.
Les détails de ces frais sont disponibles dans l’onglet « inscriptions » de chaque formation sur ce site.

BON A SAVOIR : le solde du minerval devra être acquitté avant le 1^er février 2025.

Soutien financier du Service Social

Un Service Social, composé de 6 assistantes sociales de la HELHa, existe à la HELHa. En cas de difficulté financière ou autre, elles se tiennent disponibles pour accueillir et accompagner les étudiant·e·s, durant toute l’année, que ce soit pour guider dans l’obtention d’une bourse d’études ou d’une aide financière ponctuelle. Ce service d’aide et de soutien s’adresse à tou·te·s les étudiant·e·s de la HELHa.

Assistance et contacts

En cas de problème ou de question pendant le processus d’inscription en ligne, plusieurs ressources sont disponibles :

• La section FAQ, sur le site de la HELHa, consacrée aux questions fréquentes.
• Les secrétariats de chaque implantation, disponibles pour répondre à vos questions.
• La boite Messenger de la Page Facebook officielle de la HELHa, quotidiennement consultée par le Service Communication.

Toutes les infos sur la rentrée de mi-septembre

Une page spécifique du site web de la HELHa est consacrée chaque année aux dates, heures et lieux de rentrée pour chaque formation. Cette page, accessible via le lien suivant : sera mise à jour régulièrement dès le 15 juin 2024. Elle contiendra également des informations utiles, et à jour, sur les cours préparatoires (remise à niveau, propédeutiques, etc.) organisés par certaines sections.

Visites guidées des implantations par petits groupes

En 2024, les visites guidées auront lieu du mercredi 19 juin au vendredi 5 juillet du lundi 26 août au mardi 10 septembre 2024. Une bonne occasion de découvrir les auditoires, salles de classes, laboratoires, salles informatiques ainsi que le matériel pédagogique à disposition et les différents services développés sur nos sites (accueil, cafétérias, centres de documentation, permanences du service social, service d’aide à la réussite, etc.).
À partir du 5 juin, il sera possible de s’inscrire sur cette page.

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Cette Journée des ingénieur·e·s a mis au défi 130 participant·e·s, réparti·e·s en 25 équipes, qui ont présenté leurs montages et maquettes dans le cadre du cours de « Projet technologique et scientifique », en BLOC 1, et « Projet technologique et industriel » en BLOC 2. Un jury composé d’enseignant·e·s, d’alumnis et de scientifiques externes était chargé de noter leurs présentations sur la fonctionnalité, l’ingéniosité, les aspects économiques mais également sur la qualité du panneau synoptique et du montage, le respect de la sécurité, etc. La journée était également ouverte au grand public.

Près de 150 heures d’investissement 

Pour faire aboutir leur projet, les étudiant·e·s s’investissent entre 100 et 150 heures. C’est donc dès le début de l’année académique qu’ils·elles doivent définir leurs sujets : soit en collaboration avec une entreprise (en BLOC 2), soit suite à des séances de créativité (en BLOC 1).  

« À votre service » 

Grâce à ces projets, les étudiant·e·s en BLOC 1 découvrent l’aspect technologique d’un système relié à des capteurs et actionneurs. Il s’agit de développer leur créativité en équipe. Leurs aîné·e·s en BLOC 2 abordent la matière plus en profondeur puisqu’ils·elles doivent collaborer avec des entreprises industrielles pour réaliser des prototypes qui pourraient ensuite être développés par celles-ci. Avec le thème « à votre service », le public a pu, cette année, observer des réalisations telles que : nettoyeur de plage, monte-charge pour escalier, exosquelette, machine à crêpes, détecteur de feux de forêt, lève-palette, dépoussiéreur, etc. C’est ainsi que nos étudiant·e·s commencent à rentrer progressivement dans leurs missions d’ingénieur·e·s au service de la société : « On voulait créer un monte-charge pour faciliter la vie des ouvriers, pour éviter qu’ils aient de lourdes charges et des maux de dos. », dévoile Liv, étudiante en BLOC 1. 

Une belle préparation au monde professionnel 

« En tant qu’étudiant·e, on a la chance de réaliser un projet qui puisse être implémenté dans une entreprise. C’est en quelque sorte un rêve de pouvoir réaliser cela. », explique Thomas. « Je suis soulagée car nous n’avons pas beaucoup dormi dû au stress, à l’enthousiasme, etc. Au final, tou·te·s les enseignant·e·s sont content·e·s de notre projet. De plus, notre famille et nos ami·e·s sont également présent·e·s pour nous soutenir. », conclut Liv. 

Découvrir cette journée en images via le reportage de TéléMB (00:11:16>00:14:47) par ici  !

En savoir plus sur les études d’Ingénieur industriel 

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Chaque année, un concept est imposé. Pour l’édition 2024, les futur·e·s professionnel·le·s devaient imaginer un système autonome reconnaissant des balles selon leur couleur et les guidant ainsi vers un container prédéfini.  

Un projet exigeant et multidisciplinaire 

Le projet faisait intervenir 5 cours différents : Anglais, Projet, Systèmes embarqués, Base de données et Langage web. Nos futur·e·s professionnel·le·s avaient reçu un cahier des charges en anglais intégrant un objectif final et des exigences techniques à respecter.  

« L’intérêt d’une telle journée, c’est de mettre en œuvre tout ce qu’on a appris pendant l’année en liant les cours les uns aux autres. », explique Bilal, en Bloc 2.  

En parallèle, les équipes pouvaient bien sûr faire preuve de la plus grande créativité.  

Une préparation à leur future vie professionnelle 

Cette année, sur base d’une « caméra intelligente » et de balles roses et jaunes, l’objectif était de construire un système autonome reconnaissant des balles selon leur couleur et les guidant vers le bon container.  

Les étudiant·e·s ont réalisé tout le montage mécanique et ont programmé la caméra pour que celle-ci envoie les informations nécessaires (tri) en temps réel à une tablette connectée. Ce procédé correspond au tri d’objets que nos étudiant·e·s pourraient retrouver dans leur future vie professionnelle en industrie.   

« Avec mon groupe, on a pu développer des compétences mécaniques et on a appris à utiliser le dispositif ‘maker beam’ (assemblage). Ce projet m’a aidé à m’ouvrir un peu aux autres, car je suis de nature assez timide. » 

Christan, étudiant BLOC 1 en Informatique industrielle, est venu observer ses aînés. « Cette journée est très intéressante. La découverte des projets me permet de me projeter pour l’année prochaine. Cela augmente d’ailleurs mes attentes. Je me rends compte que les étudiant·e·s maitrisent ce qu’ils·elles font. Ce que j’en retiens, c’est que cela me conforte vraiment dans mon choix d’études ! »  

Un concours avec le public comme jury 

13h30 : top départ.  

Malgré la fatigue des 5 jours de préparation et malgré le stress, les compétiteurs·rices étaient très fier·e·s de présenter le fruit de leurs réflexions, créativité et manipulations.  

« On ressent beaucoup de fierté en présentant notre projet. La réalisation a été compliquée. Différents bugs ont mis du temps à être résolus. Mais une fois cette étape passée, c’est le soulagement. », partage Bilal.  

Au total, 5 « teams » ont concouru et tenté de séduire le public composé d’étudiant·e·s en Informatique industrielle de BLOC 1, d’étudiant·e·s en Ingénieur industriel et d’enseignant·e·s. Ceux-ci devaient noter les différentes équipes selon les critères suivants :  

• qualité de la présentation du projet,  
• qualité des réponses aux questions,  
• fonctionnalité du système,  
• soin du montage  
• qualité du design.

Une note qui restait toutefois informative mais constructive.  

Les 5 teams ont chacune reçu une note du public variant entre 65 et 80%. Une belle préparation pour le « Projet industriel » qu’elles seront amenées à présenter au mois de décembre 2024 en Bloc 3. 

Pour découvrir le Bachelier d’Informatique industrielle, c’est par ici ! 

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Pendant une journée, les étudiant·e·s du Bloc 1 et 2 de la section Chimie appliquée et Chimie environnement ont accueilli deux professionnel·le·s de l’entreprise Quality Assistance  sur le campus de la HELHa : Celia Cosseddu (département Ressources humaines) et Thomas Henri (Recherche, développement et innovation), ancien étudiant de la HELHa. 

Quality Assistance  est une société belge, de recherche, de renommée européenne, située à Donstiennes, un village de l’Entre-Sambre-et-Meuse, en province de Hainaut. Les entreprises pharmaceutiques font appel à ses services analytiques lors du développement ou de la commercialisation de médicaments humains innovants. Quality Assistance est un interlocuteur privilégié de la HELHa puisque de nombreuses techniques de pointe y sont utilisées et sont liées aux travaux pratiques donnés dans la Haute École.  

Un employeur prometteur 

Leader européen dans les sciences analytiques, l’entreprise emploie 250 professionnel·le·s hautement qualifié·e·s et continue de s’étendre jour après jour. Lors de cette rencontre, Celia Cosseddu a cité les nombreuses fonctions accessibles à nos futur·e·s bachelier·e·s en Chimie : technicien·ne, analyste, chercheur·se, etc.   

Une journée instructive pour les étudiant·e·s 

Après ce temps d’échange, nos futur·e·s professionnel·le·s sont ressorti·e·s enthousiastes pour le futur. Thomas, diplômé d’un Master en alternance en génie analytique de la HELHa, leur a dévoilé son parcours, ses motivations et son évolution dans la société. Un témoignage qui motive Maeva : « C’est intéressant d’entendre d’autres personnes parler de leur parcours et de leurs études. On se rend compte que beaucoup de parcours différents sont possibles ». Une rencontre à refaire : « J’ai bien aimé l’initiative de cette visite, car cela nous permet de nous rendre compte de l’aspect plus concret de nos études et de nos futures tâches dans le laboratoire dans une entreprise », conclut l’étudiante. 

Découvrir notre Bachelier en Chimie appliquée et Chimie environnement. 

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