« Je ne m’attendais déjà pas à être sélectionnée alors gagner absolument pas, je pense que je ne réalise pas encore d’ailleurs » 

Sur base d’un projet initié par un·e enseignant·e·s du Domaine des Arts Appliqués, les étudiant·e·s ont eu l’opportunité de déposer leur visuel pour ce concours. Amandine a tenté sans grand espoir et pourtant… 

« Je suis de Nivelles. Je ne connaissais pas le Doudou, je me suis donc dans un premier temps, renseignée sur ce folklore avant de concevoir mon concept. » 

Elle souhaitait sortir des codes traditionnels des affiches en proposant un design dynamique. Son œuvre représente un combat entre Saint-Georges et le Dragon. C’est au total 24 h de travail cumulé qui ont permis à Amandine de faire vivre le Doudou en illustration. 

« Lors du coup de téléphone, je n’ai pas réalisé tout de suite que j’étais la gagnante. C’était un mélange de surprise et de contentement ».  

Ce concours lui permet de remporter 1000 euros et l’impression de son visuel sur l’affiche et le t-shirt officiels de la Ducasse de Mons 2024. Bien qu’Amandine ne puisse pas participer activement au Doudou en raison des examens, soyons réalistes de reconnaitre que, même sans être directement impliquée, cette tradition résonne dans les cœurs à Mons pendant cette période. 

La HELHa se joint à toutes les félicitations qu’elle a déjà reçues ! La HELHa a du talent, c’est un fait !   

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La Rentrée Académique 2023-2024 a ainsi permis de remettre en question nos façons de concevoir l’innovation, et plus précisément l’innovation pédagogique. Ce sera le thème central de diverses activités proposées durant deux ans au sein de notre institution.

Le Professeur Benoit GAILLY de l’UCLouvain a pointé les éléments indispensables à l’aboutissement d’un projet innovant, en faisant des parallèles avec l’enseignement supérieur. Les porteurs de projets des bourses d’innovation pédagogiques (BIP) ont également été sous le feu des projecteurs.

15 projets d’innovation pédagogique sélectionnés et valorisés à la HELHa

Après une année d’expérimentation, certains lauréats des « Bourses d’Innovation Pédagogique » ont eu l’opportunité de présenter leurs réalisations lors de la Rentrée Académique de la Haute École Louvain en Hainaut le 5 octobre 2023. Dessin, nouveaux ouvrages, gaming, encadrement des stages, jeux, manipulations, etc. Voilà quelques exemples de méthodes d’enseignement innovantes mises en place tout récemment.

Lancé en 2022 par le Groupe de Travail (GT) Enseignement 2025, l’appel à projets « BIP » avait pour objectif de « promouvoir l’innovation pédagogique en soutenant la création d’environnements d’apprentissage qui favorisent l’engagement étudiant·e·s. ».

En d’autres termes, le GT Enseignement 2025 souhaitait encourager de nouvelles façons d’enseigner en aidant à créer des espaces où apprendre devient plus intéressant et motivant pour les étudiant·e·s.

Un budget extraordinaire a été débloqué

Pour ce faire, le Collège de Direction de la HELHa a débloqué un budget extraordinaire de 60.000€ pour soutenir, soit par l’achat d’équipement, soit par l’attribution de missions spécifiques, les initiatives portées par ses équipes pédagogiques.

En réponse à cet appel, quinze projets ont été sélectionnés, notamment des projets transversaux, plusieurs domaines d’enseignement ayant travaillé ensemble.

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Un échange de bonnes pratiques qui vise à enrichir l’ensemble des modalités d’enseignement de la HELHa.

L’innovation pédagogique ne concerne pas que le numérique !

Bien que les outils numériques occupent une place de plus en plus importante et transforment progressivement le rôle d’enseignant, il est crucial de rappeler que l’innovation ne se limite pas au champ du numérique. En effet, elle implique surtout :

• De bousculer les méthodes d’apprentissage traditionnelles afin de mieux répondre aux besoins actuels des étudiant·e·s.
• De stimuler l’apprentissage grâce à l’usage judicieux des technologies et des méthodes interactives.
• De rendre l’apprentissage plus efficace, dynamique et accessible à tous.

Tout projet répondant à ces critères était donc éligible pour recevoir une bourse d’innovation pédagogique.

La présentation des projets a été accueillie avec enthousiasme et a ouvert la discussion sur des évolutions possibles dans la Haute École, permettant à la HELHa de faire encore un pas de plus vers la réalisation de ses objectifs stratégiques. 

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Ainsi, ces étudiant·e·s (toutes années confondues) collaborent pour concevoir, enregistrer et produire ces podcasts d’environ 10 minutes. Les sujets sont choisis PAR les étudiant·e·s et POUR les étudiant·e·s ! Cela donne des épisodes captivants où les participant·e·s partagent leurs perspectives, pouvant ainsi aider ou inspirer leurs auditeur·rice·s !

Les artistes belges présent·e·s sur les festivals cet été, le logement en mode camping à Dour, les trucs et ficelles pour interviewer les artistes… vous saurez tout·e·s sur ces moments festifs incontournables. D’ailleurs, vous ne le saviez peut-être pas : c’est en Belgique que vous avez le plus de festivals par habitant·e. Enfin, certaines confessions d’une autre époque vous amuseront. C’était peut-être le temps où on chantait « la gadoue » dans les festivals ? nous explique une fan de ce podcast.

Disponible sur Spotify, Deezer et SoundCloud, un nouvel épisode est publié chaque 21 du mois, alors n’hésite pas à t’abonner à « HELHa de la voix » pour ne manquer aucun épisode.

Et surtout, partage le podcast et parles-en autour de toi pour soutenir les étudiant·e·s qui s’investissent pleinement pour produire ce travail de qualité.

Laissez-vous surprendre par les toutes premières productions de ces futur·e·s journalistes et communicant·e·s !

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Un message pour la prévention contre le cancer

Alexandrine nous rappelle que le cancer touche aussi les jeunes.

« J’ai eu de la chance d’être diagnostiquée quand j’étais au stade 2. J’ai rencontré des gens qui n’ont pas eu la même chance que moi. »

Elle encourage donc à l’autopalpation. Cela peut littéralement sauver une vie.

Du déni à la guerre contre la maladie

C’est en début d’année 2019 qu’Alexandrine a remarqué qu’elle avait une boule dans le sein gauche. Au début, elle ne s’en souciait pas trop. Poussée par son meilleur ami, elle a finalement entamé les démarches qui lui permettront d’obtenir, en à peine un mois, le diagnostic.

« Il y a quand même eu une espèce de période de déni, ou l’on se ment un peu à soi-même et l’on fait l’autruche. J’avais suivi des études d’infirmière, je savais qu’une boule à cet endroit-là, ce n’était pas une bonne chose. Et en quelques semaines, je suis passée de l’état d’esprit d’une personne en bonne santé à une tout autre en ambiance… J’ai dû me dire que j’entrais en guerre contre la maladie. »

Continuer sa vie et les cours, différemment

À l’époque, Alexandrine suivait des cours de promotion sociale pour obtenir son CESS. Une fois le diagnostic établi, elle a dû faire de la chimiothérapie, tout en suivant ses cours.

« Mes séances étaient le jeudi, j’allais donc à l’école du lundi au mercredi et le vendredi, généralement, je n’y allais pas. Nous étions une petite classe et, avec les profs, nous étions tous proches. »

Le sport comme seconde thérapie

Sportive touche-à-tout depuis son enfance, le traitement qu’Alexandrine a suivi l’a complètement stoppée dans son activité physique. Aujourd’hui, le sport l’aide à retrouver son corps.

« Reprendre une activité physique après être entrée en rémission m’a vraiment permis de retrouver de l’énergie. Je vois que ça m’aide et ça me fait plaisir par ce qu’en évoluant, je me dis que ma rémission ne prendra peut-être pas 10 ans finalement. »

La philosophie d’Alexandrine

« J’ai une devise que j’adore et que je dis souvent, c’est : Soyez heureux. Le reste, c’est que des confettis.  Je trouve que ça résume bien ma manière de penser. Je relativise beaucoup maintenant, il faut savoir ce qui est grave ou pas. Si j’ai une griffe ou un problème sur ma voiture, avant, j’aurais directement pété un câble, maintenant, ce sont des confettis. »

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En effet, lors de ses études, Kyllian a découvert les diverses facettes du métier d’ergothérapeute dont celui d’expert du paramédical en aide technique. Les aides techniques sont des objets du quotidien qui permettent aux personnes en situation de handicap de pallier à certaines difficultés (fauteuils roulants, cannes, pupitres de lectures, paire de lunettes, etc.).

Première étape dans le projet en ergothérapie de Kyllian : relever les points négatifs des aides techniques

Pendant son cursus, Kyllian a constaté à quel point les aides techniques peuvent présenter certains problèmes.

 » Je me suis rendu compte que même si elles servent à aider les gens au quotidien, toutes les aides techniques ont des problèmes communs auxquelles il est intéressant de remédier. Premièrement, elles sont trop souvent génériques et non adaptées à la personne et à ses réels besoins. Le rôle de l’ergothérapeute devient souvent de fabriquer lui-même une aide technique adaptée pour le patient. Ensuite, j’ai pu remarquer qu’elles sont régulièrement abandonnées après quelque temps d’utilisation à cause de leur esthétisme leur côté stigmatisant. Cela peut créer un inconfort chez l’utilisateur : il porte encore davantage un regard négatif sur son handicap ou accepte mal le regard que les autres peuvent porter sur lui. « 

Seconde étape dans le projet en ergothérapie de Kyllian :

Dans le cadre de son Travail de Fin d’Etudes, Kyllian a effectué des recherches sur d’éventuelles manières de remédier à ces problèmes.

 » J’ai découvert qu’en utilisant l’expertise d’un ergothérapeute, couplée à celle d’un ingénieur, mais aussi en se servant de la modélisation et de l’impression 3D, on pouvait créer un objet adapté et personnalisé. C’est quelque chose qui existait déjà dans d’autres pays comme la France, la Suisse et les États-Unis, alors pourquoi pas en Belgique ? « 

Notre ancien étudiant a donc décidé de créer une aide technique adaptée à la personne qui en bénéficierait : au-delà de son utilisation, le bénéficiaire pourrait faire un choix au niveau de l’esthétisme, de manière à ce que l’objet témoigne de sa personnalité.

«  En démarchant plusieurs écoles, je suis tombé sur un jeune garçon de 12 ans qui est atteint d’une paralysie cérébrale. Cela rend ses mouvements difficiles surtout au niveau des mains et avait des conséquences sur sa socialisation. Par exemple, sur les temps de midi, il avait besoin d’attendre l’assistance d’un adulte pour manger alors que ses camarades de classe avaient déjà fini et étaient en train de jouer dans la cour. Du coup, avec l’aide d’autres experts, nous avons créé un manche adapté à sa main d’enfant et à la morphologie de ses doigts. Cela lui a permis d’utiliser efficacement et assez longtemps des couverts. Le tout a été imaginé sous forme de sabre laser, car il adore l’univers de Star Wars. Le visage de son personnage préféré a même été imprimé dessus ! « 

Du projet ponctuel au projet entrepreneurial

C’est après être entré en contact avec une entreprise d’innovation pour son projet initial qu’il a été conseillé à Kyllian d’essayer d’obtenir le statut d’étudiant-entrepreneur.

« J’ai adoré l’expérience de faire cela pour mon travail de fin d’études. C’était intéressant de ne pas laisser tomber le projet et de trouver un moyen de le pérenniser pour qu’il fasse partie de ma carrière ».

Il s’est donc tourné vers la Cellule Étudiants-Entrepreneurs de la Haute Ecole Louvain en Hainaut et a pu avancer dans le développement de son projet. La HELHa lui a permis de :

• faire évoluer son projet,
• trouver des contacts,
• mettre en avant les valeurs qu’il voulait transmettre comme le contact humain, l’écoute et le lien patient-thérapeute.

Pourquoi faire appel à la Cellule Étudiant-Entrepreneur ?

«  La Cellule Etudiants-Entrepreneurs peut vraiment donner un coup de boost au projet. Je pense que si on a une idée qui peut faire bouger les choses, il n’y a pas à hésiter ou à attendre. À partir du moment où le projet nous fait vibrer et si on a l’envie, la HELHa peut donner des ressources pour aider à le développer. « 

Aujourd’hui ergothérapeute diplômé, Kyllian a décidé de se consacrer à 100 % à son projet entrepreneurial. Il a gagné plusieurs prix :

• Le premier prix des Inno Pépites awards
• Un des prix du Mind & Market 
• Il a été récemment sélectionné pour rejoindre un incubateur qui aide les projets dans le domaine de la santé à se développer en Belgique.

 » J’espère pouvoir me lancer et investir mon temps pour aider des gens. C’est important de me consacrer à ce projet qui fait sens pour moi . »

La Cellule Étudiants-Entrepreneurs, c’est quoi ?

La Cellule Étudiants-Entrepreneurs aide les étudiant·e·s qui souhaitent se lancer dans un projet entrepreneurial en :

• les coachant,
• les accompagnant,
• leur donnant des outils qui leur permettent de réaliser leur projet efficacement,
• les mettant en relation avec différents acteurs,
• aménageant leur cursus pour faciliter le développement de leur projet.

Plus d’informations sur le site web de la HELHa et dans cette vidéo.

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• Des bancs de la HELHa au Dojo

Ce mercredi 8 mars 2023, six étudiant·e·s de la HELHa ont participé au championnat de Judo de la Fédération Sportive Universitaire Belge (FSUB) par équipe à Mons.

Avec une énergie débordante et une envie d’aller toujours plus loin, les judokas sont représentés fièrement les couleurs de la HELHa face à 5 autres institutions.

Le « Sore Made[1] » a sonné, mais la HELHa n’a pas dit son dernier mot pour les années à venir.

• Cours Forest, cours…

90 étudiant·e·s se sont retrouvés pour partager un dimanche sportif le 12 mars 2023 lors des 4 et 10 miles de Charleroi.

Les coureur·euse·s sont venus des différentes implantations de la HELHa : Mons, La Louvière, Braine-le-Comte, Loverval, Gosselies, Gilly, Charleroi et Montignies pour courir à travers le Pays noir.

De la motivation, des encouragements et de l’entraide ont permis à tous·tes de terminer la course et à Noémie et Amélie de se hisser sur le podium dans la catégorie Espoir sur les 10 miles.

L’occasion de rencontrer des étudiant·e·s d’autres implantations pour un moment convivial en dehors de la Haute École.

• Comme un poisson dans l’eau

Une piscine, des bonnets floqués et 8 nageur·se·s, ça permet une belle représentation de la HELHa au championnat de la FSUB de natation à Anvers le 14 mars 2023.

Engagés dans 20 courses, ils ont tout donné ! En relais ou en équipe, la HELHa s’est retrouvée par deux fois à deux doigts du podium.

• Set et match

La dernière rencontre de tennis de l’année a eu lieu à Huy où la HELHa a joué contre la Haute École de la Province de Liège.

Après une égalité à la suite des simples, le score a tourné à l’avantage des adversaires grâce au double. La HELHa a perdu une bataille, mais certainement pas la guerre.

L’année prochaine, Maëlys et Manon et peut-être vous viendrez de nouveau défendre la place de la    HELHa.

• Ça grimpe

La HELHa prend de la hauteur.

Ce 25 mars 2023, 8 étudiant·e·s ont grimpé à Louvain-La-Neuve lors de la compétition d’escalade FSUB. 60 voies étaient ouvertes avec des difficultés progressives pour un moment de grande intensité.)

• Les activités des mois à venir

HELHa Sport t’invite à te challenger le vendredi 21 avril 2023 à Mons en soirée pour une course ou une marche de 6 ou 10 km.

>>> N’hésite pas à t’inscrire en cliquant ici

Ou encore lors du Bike & Run entre Louvain-la-Neuve et Leuven ce mercredi 3 mai 2023.

Vous avez plusieurs choix sur une distance de 33 kms.

• Course seul : Run.
• Course par deux : Run and bike. (1 vélo pour deux)
• Course par trois : Run and bike (2 vélos pour trois)
• Course par quatre : Run and bike (3 vélos pour trois)

>>> Intéressé ? Inscris-toi !

Toi aussi tu veux pratiquer du sport ? N’hésite pas à interpeller le coach de ton implantation.

Bravo à tous les étudiant·e·s pour l’énergie dépensée durant ce mois de mars.

[1] Fin du combat

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« À la base, j’ai décidé de venir à la HELHa car la Cellule Étudiants-Entrepreneurs existait. Je cherchais une idée innovante et c’est au cours d’une discussion avec un ami que je me suis dit qu’il y avait beaucoup d’innovations faites pour électrifier les voitures mais pas pour les vélos », précise Ahmed, étudiant en première année de Master Ingénieur industriel en finalité automatique.

Evelob pouvait commencer !

La Cellule Étudiants-Entrepreneurs : un tremplin

Ahmed s’est donc dirigé vers la Cellule Étudiants-Entrepreneurs de la HELHa pour y trouver de l’aide : « J’ai postulé et présenté mon projet à la cellule. Il a été accepté. J’ai été présenté à un incubateur d’entreprise à Charleroi. J’ai ainsi reçu toute l’aide utile pour créer des prototypes et faire des études de marché. Actuellement, mon objectif est d’améliorer mon prototype et de faire un business plan ».

Evelob, c’est l’électrification des vélos classiques.

« Le projet c’est de créer des kits pour électrifier des vélos classiques en ajoutant un kit d’électrification : moteur, batterie, contrôleur et capteur, et que ça devienne un vélo électrique. Les cyclistes qui souhaiteraient passer à un vélo électrique pourraient désormais le faire, sans acheter un nouveau vélo ».

Les études sont tout sauf un frein !

Ahmed organise son temps de manière à pouvoir développer son projet tout en continuant ses études.

« Pour être efficace et ne pas perdre mon temps, j’essaye d’aller à tous les cours et d’y être très attentif pour devoir m’y consacrer un minimum en dehors de l’école. Je fais ainsi ce que je veux de mon temps libre. Ça me laisse pas mal de temps pour mon projet. Mes weekends sont aussi organisés en deux parties : école et projet ».

La Cellule Étudiants-Entrepreneurs, c’est quoi ?

La Cellule aide les étudiant·e·s qui souhaiteraient se lancer dans un projet entrepreneurial en

• les coachant
• les accompagnant
• leur donnant des outils qui leur permettent de réaliser leur projet efficacement
• en les mettant en relation avec différents acteurs
• en aménageant leur cursus pour faciliter le développement de leur projet.

Retrouve toutes les informations en cliquant-ici.

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Originaire d’Ath, il est depuis son enfance plongé dans l’histoire et la culture du géant. Terrorisé lors de ses premières rencontres avec ces personnages folkloriques en osier, il n’a pourtant jamais su en détourner le regard jusqu’à ce que naisse une réelle passion pour cette coutume présente dans le monde entier : « Au début, j’en avais peur. Mais, étrangement, j’ai toujours voulu en voir de plus en plus. C’est quand j’ai reçu mon premier appareil photo que je suis véritablement devenu chasseur de géants ».

Aujourd’hui, Tristan entretient une réelle admiration pour les géants. Il relaye chaque jour ses recherches, découvertes et photographies sur ses réseaux sociaux : « Je poste du contenu lié aux géants tous les jours. J’aime partager des géants venant des quatre coins du monde, des actualités, des nouveautés et même des enquêtes auxquelles j’ai la chance de participer. J’assiste à beaucoup de fêtes de géants et je publie des reportages photo sur ma chaine Youtube ou via mon organisation culturelle “Univers des Géants” qui accueille toute la collection photographique de géants du monde ».

Chasseur de géants, même jusqu’au bout du monde.

Son adoration lui a permis de communiquer avec des passionnés du monde entier : « J’aime partager mon intérêt avec d’autres personnes et cela m’a amené à faire connaissance, à échanger et à faire des recherches avec des gens, même outre-Atlantique ». Il a voyagé et suivi des géants dans toute la Belgique, la France, l’Espagne, les Pays-Bas, l’Allemagne, le Royaume-Uni et plus récemment aux États-Unis, à New York et dans le New Jersey.

Étudiant en journalisme en tête d’article

La ville mexicaine de Piedras Negras a pu découvrir Tristan dans leur journal à travers un portrait réalisé dans le cadre de son enquête pour retrouver la géante perdue « la vénus de Del Rio ».

C’est après avoir pris connaissance de l’histoire de la mystérieuse disparition de cette géante en 1991 que Tristan a entamé, en 2020, une enquête approfondie dans le but de la restaurer : « Des gens avaient déjà cherché ou rassemblé des informations, mais cela restait flou, incomplet ou confus. J’ai souhaité reprendre l’enquête depuis le départ. J’ai donc entrepris une sorte de campagne sur les réseaux sociaux de Del Rio et j’ai reçu de nombreux témoignages d’habitants non seulement de Del Rio mais aussi de plusieurs villes Texanes ».

La passion qui rassemble

Pour Tristan, le folklore des géants est une véritable occasion de rassembler et d’interagir avec ceux qui partagent cette passion : « Quand je parle de mon intérêt pour les géants avec d’autres personnes, cela brasse généralement de nombreux souvenirs d’enfance, c’est beaucoup de nostalgie qui revient. Les gens aiment partager leurs souvenirs et les histoires de quand ils étaient jeunes. Par exemple, concernant mon enquête sur la Vénus Del Rio, je suis soutenu dans mes recherches, car d’autres se demandent autant que moi ce qui a bien pu arriver à cet emblème qui a marqué pendant des années le quotidien local. Cela réveille la curiosité et suscite une montagne de réactions positives. À ce jour, la géante n’a toujours pas été retrouvée, mais je persévère et je n’abandonnerai pas ».

Une passion qui nourrit les études

Étudiant en communication ayant choisi le journalisme comme option, Tristan arrive non seulement à agencer sa passion et ses études, mais il réussit à les combiner, les entremêler pour avancer dans les deux domaines : « Mes études me permettent d’alimenter ma passion et inversement, ma passion alimente mes études. Dans le cadre de mes cours, j’ai l’occasion de créer du contenu de qualité sur un sujet que j’aime plus que tout. Ma passion et mes études se marient à merveille, elles sont complémentaires. C’est une combinaison parfaite qui m’offre plein d’opportunités ».

La HELHa suivra attentivement les aventures de Tristan.

Découvres-en plus sur :

• la page Youtube de Tristan : https://www.youtube.com/@tristansadones
• Instagram – tristansadones 
• Facebook – https://www.facebook.com/tristansadonesgeantheque 

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C’est en découvrant la chanteuse Tal qu’elle a eu l’envie de développer son talent : « J’ai grandi dans une famille mélomane et je chante pour le plaisir depuis toute petite. C’est vers mes 14 ans que j’ai décidé de prendre des cours. Je voulais apprendre à chanter et à le faire devant un public. »

Le chant est pour Juliette une manière d’exprimer ce qu’elle ressent. « Chanter, ça me permet de m’évader, d’être dans ma bulle et surtout de partager avec les gens. Être sur scène, c’est quelque chose qui me plait beaucoup. Je communique et je transmets des messages qui me tiennent à cœur ».

Juliette joue également du piano. Elle utilise l’instrument pour accompagner sa voix lors de représentations : « C’est un plus sur scène qui me permet d’adapter le rythme et l’intensité de la chanson à mon état d’esprit. Au début de mes spectacles, si je suis stressée, cela se ressent sur le piano, car mes doigts tremblent, mais une fois lancée, tout se passe bien. »

Une étudiante de la HELHa à The Voice

Juliette a participé à la dixième saison de « The Voice Belgique ». Elle avait été buzzée par Black M pour son interprétation de L’Effet de masse de Maëlle. Son aventure s’est malheureusement terminée après l’épreuve des K.O. Malgré cela, elle garde un très bon souvenir de son expérience : « Je regardais l’émission quand j’étais petite et je m’étais promise qu’un jour, moi aussi, j’y participerais… et je ne le regrette pas ! C’est l’une des plus belles choses que j’ai vécu de ma vie. J’ai rencontré des gens formidables avec qui je suis encore en contact aujourd’hui. J’ai pu revoir Black M à plusieurs occasions et il nous a même invité au concert de Sexion d’Assaut ».

Trouver sa voie en donnant de la voix

Aujourd’hui, Juliette a décidé de se concentrer sur ses études et de pratiquer le chant pour le plaisir, ou lors d’évènements lorsqu’elle en a l’occasion : « Pendant le premier quadrimestre de l’année passée, j’ai dû consacrer énormément de temps à The Voice, quitte parfois à rater des journées de cours. Cela s’est ressenti lors de ma session de janvier. Mais j’ai rattrapé mon retard durant le deuxième quadrimestre et l’année s’est bien passée. Actuellement, je chante pour le plaisir, mais une fois l’année scolaire finie, je compte me concentrer sur de nouveaux projets musicaux ».

La HELHa a hâte de découvrir les futurs projets musicaux de Juliette.

Découvre l’univers de Juliette sur son compte Instagram : julankou

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Pianiste depuis plus de 10 ans, elle a fait ses gammes au conservatoire. À 21 ans, Sika entretient toujours une relation privilégiée avec son instrument de prédilection, le piano : « C’est une véritable passion pour moi ! Depuis mes 8 ans, je n’ai pas arrêté d’évoluer et apprendre. Je me suis déjà produite sur scène, il y avait des gens qui venaient me regarder, c’était génial ».

Actuellement, Sika a pris la décision de s’investir un maximum dans ses études sans pour autant mettre de côté son amour du piano : « J’ai dû le mettre un peu en stand-by avec l’école, mais je continue de pratiquer dès que j’ai le temps. Il ne faut jamais oublier de vivre de sa passion ! »

La HELHa t’invite à découvrir le talent de Sika sur son compte Instagram : sika_bdn

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