Assistant·e social·e : un diplôme et de nombreuses possibilités pour la suite
C’est un métier en pénurie qui offre de nombreux débouchés. Bon nombre de nos étudiant·e·s font aussi le choix d’un diplôme complémentaire. Là encore les possibilités sont nombreuses.
La HELHa peut donc être considérée comme un véritable tremplin vers une vie professionnelle riche et un épanouissement de chacun·e. Nos sites de Louvain-La-Neuve, Mons et Montignies-sur-Sambre proposent le Bachelier Assistant·e Social·e en 3 ans, principalement en horaire de jour, mais aussi en horaire décalé sur le bassin carolo.
Les étudiant·e·s attiré·e·s par les sciences sociales ont parfois tendance à se tourner vers les études universitaires, plus prestigieuses, telles qu’un Master en Sociologie, Psychologie, etc. Pourtant, au vu des retours de nos étudiant·e·s, le Bachelier Assistant·e Social·e de la HELHa peut davantage faire le lien entre l’enseignement secondaire et l’enseignement supérieur, assurer une transition, proposer des mises en pratique rapidement, immerger les étudiant·e·s dans le concret et véritablement les accompagner davantage vers la construction de leur avenir.
Une présence dans de nombreux secteurs
Le·La travailleur·euse social·e est un·e acteur·rice incontournable. Il·Elle se trouve dans bon nombre de secteurs: les hôpitaux, les crèches, les maisons de repos/de jeunes, les prisons, le domaine du handicap ou de l’aide à l’enfance, l’enseignement, etc.
Il existe un nombre incroyable de débouchés principalement dans les domaines de l’éducation, de la santé et de l’action culturelle.
Les missions du·de la travailleur·euse social·e
Il·elle accueille et accompagne les personnes/familles en difficulté, développe des projets, mène des actions pour lutter contre les exclusions, négocie avec des partenaires, défend et promeut des droits, etc.
Outre ces nombreuses missions, il·elle peut aussi prendre différentes casquettes sur le marché de l’emploi : animateurs·rices, formateurs·rices, coachs, etc. «
“Ce qui est chouette, c’est que l’assistant·e social·e peut intervenir partout à partir du moment où ses tâches ont un lien avec le domaine social.”, explique Marine avec enthousiasme, à l’issue de son stage de fin d’études.
Une richesse que la HELHa a bien comprise puisqu’elle demande à ses étudiants de varier les secteurs de lieux de stage et les fonctions occupées afin développer une connaissance diversifiée du terrain et les compétences associées à chacun d’entre eux.
Une proximité enseignants-étudiants qui favorise la réussite
« Ce qui m’a marqué le plus au sein de la HELHa, c’est la proximité avec le corps enseignant. En effet, les professeurs sont à l’écoute des étudiants, il y a une réelle motivation de leur part à connaître leurs élèves et à les accompagner au mieux dans leur parcours. Le contenu des cours et le suivi des stages sont les points forts de cette école », témoigne Léonore.
Les retours de stage, par exemple, sont nombreux. En petits groupes ou lors des supervisions, les équipes pédagogiques veillent à ce que les étudiant·e·s puissent venir déposer ses difficultés, fiertés et enthousiasmes. La préparation à ces stages fait également partie intégrante de l’accompagnement prévu au sein de la Haute Ecole Louvain en Hainaut, quel que soit le site choisi.
Aucune difficulté n’est insurmontable mais c’est ensemble que les obstacles sont dépassés.
Le petit plus de la HELHa
À la HELHa, les étudiant·e·s du Bachelier Assistant·e Social·e peuvent s’enrichir encore davantage en découvrant les pratiques sociales au-delà des frontières. Voyages, séminaires d’intégration, activités extérieures, week-end avec des personnes à mobilité réduite, etc. Ces activités permettent d’être confronté·e·s à des pratiques culturelles différentes et d’améliorer ses propres pratiques.
À titre d’illustration, cette année, des étudiant·e·s en BLOC 2 sont parti·e·s en voyage à Marseille et d’autres, en 3e année, au Bénin. Ils·elles en gardent des souvenirs incroyables.
Gagner en maturité
Les étudiant·e·s rapportent des retours très positifs de leur cursus. Selon eux·elles, les cours dispensés lors de la formation sont un solide appui dans le développement des compétences: « A partir du non-verbal de la personne, j’arrive plus facilement à repérer quelque chose qui coince et ainsi apporter une aide adéquate. Certains automatismes se sont créés grâce à ma formation. », explique Marine dans son retour de stage.
« En trois ans, je me suis senti grandir énormément d’un point de vue maturité et d’un point de vue social. J’ose plus facilement aller vers les autres.», explique Louis à l’issue de ses trois ans.
Pour découvrir le Bachelier en Assistant·e Social·e c’est par ici : à Louvain-la-Neuve, Mons ou Montignies-sur-Sambre.
