Le rôle premier d’un·e ingénieur·e est d’inventer, produire et innover. C’est un·e technicien·ne indispensable qui se retrouve d’ailleurs dans beaucoup de secteurs : l’agroalimentaire, les cosmétiques, les matériaux, le pharmaceutique, l’énergie, le transport, etc.  

Il s’agit bien de permettre aux étudiant·e·s de développer compétences, savoir-faire et savoir-être de manière à trouver des solutions innovantes, à entreprendre, à collaborer à la réalisation de défis importants liés au climat, aux ressources naturelles, à la cybersécurité, etc.  

La HELHa répond à la demande en proposant des études universitaires en 5 ans via une formation de qualité, dispensée dans un environnement familial. 

 

Un taux d’employabilité inégalé 

Le taux d’employabilité s’élève à 80.6% dans les trois mois qui suivent le diplôme. Mélanie, ancienne diplômée de la HELHa, fait partie des chanceux·ses engagé·e·s à l’issue de leur stage de fin d’études : « Suite à mon stage, on m’a proposé un poste comme ingénieure. », partage l’actuelle « Key Account Manager ». 

 

Et pourquoi pas à l’étranger ? 

Les futur·e·s professionnel·le·s qui ont la « bougeotte » peuvent s’ouvrir encore davantage de portes. La HELHa fait bel et bien partie du réseau Euclides : chaque année en participant aux « semaines internationales des Ingénieurs », notre institution envoie une série d’étudiant·e·s à l’étranger. Six semaines intenses et riches en visites, ateliers et travaux de groupes. Cette expérience exceptionnelle sensibilise nos scientifiques à l’aventure et les aide à s’adapter aux différences culturelles.  

Mélanie précise : « Mon stage qui a débouché sur un emploi s’est effectué à Barcelone. Cela a été une magnifique aventure. ». 

Des secteurs à n’en plus finir 

Le métier d’ingénieur·e· est omniprésent dans la société. Les diplômé·e·s ont l’embarras du choix à leur sortie de formation et peuvent se spécialiser dans le secteur qui les intéresse : électricité, environnement, chimie, recherche et développement, automobile, informatique, etc.  À la HELHa, c’est donc à partir de la 2e année que nos scientifiques pourront déjà se spécialiser dans la Biochimie, la Chimie, l’Électronique, l’Électromécanique.  

La section « Ingénieur Industriel » détient l’accréditation « CTI »* pour ses 5 orientations. Un label de qualité à l’échelle européenne (label européen EUR-ACE). 

 

Une formation de haute qualité 

Pas la peine d’attendre la 2e année de cursus pour entrer dans le concret puisqu’en 1e année d’études déjà, on laisse place à l’action notamment grâce à la « Journée des ingénieur·e·s » !  

Chaque année, des groupes d’étudiant·e·s de 1e et 2e année se défient les un·e·s les autres en proposant des projets créatifs notés par un jury. En « BLOC 2 », ils·elles doivent même collaborer avec des entreprises industrielles pour réaliser des prototypes qui pourraient être développés par celles-ci dans le futur. C’est grâce à ce type d’initiatives que nos futur·e·s diplômé·e·s entrent progressivement dans leurs missions d’ingénieur·e·s « au service de la société ». 

 

Un cadre universitaire avec une attention particulière pour chaque étudiant 

Des études universitaires intégrées dans une Haute Ecole, voilà la plus-value de la HELHa. Les sections de petite taille permettent une ambiance familiale et une pédagogie interactive : des enseignant·e·s accessibles et disponibles, des travaux en petits groupes, des laboratoires, des réalisations de projets, etc. Impossible d’être « perdu·e dans la masse ».  

« Lorsque j’ai choisi d’intégrer l’Ecole d’Ingénieurs de la HELHa après une année très compliquée à l’Université, j’ai vraiment fait le bon choix. Beaucoup plus ‘terre à terre’, les études d’ingénieur industriel me correspondent vraiment en Haute Ecole », témoigne Florian.  

Pour découvrir les études d’Ingénieur industriel c’est par ici. 

 

*Commission des titres d’ingénieur